A la Rencontre de La Galoche du Cantal
Quand on entre dans la boutique et que l’on découvre Eric, on a juste envie de pousser notre petit chant matinal « cocorico ».
En effet Eric nous a emballé, il fait perdurer avec passion l’art de la Galoche.
Éric Mas a repris en 2013 l’affaire de son prédécesseur, Jean-Claude Lafon. L’originale Galoche d’Aurillac, telle qu’elle était taillée, montée et cloutée dès 1880. Elle est devenue La galoche du Cantal en arrivant dans le ravissant village de Marcolès.
Pour la Galoche rien n’a changé, elle est toujours la même, tradition et savoir-faire lui colle toujours aux basques.
Comme la passion donne des ailes, elle pousse Eric à ne pas rester les deux pieds dans le même sabot. Il imagine et crée sans cesse, des tenues différentes pour ses galoches. On les retrouve fleuries, écossaises, colorées et parfois même habillées d’un brin de blé, d’un émaux de Marcolès ou de dentelle du Puy.
Séduit par ce personnage et ses valeurs, nous sommes fiers de devenir partenaire de La Galoche du Cantal.
Le dernier galochier de France à clouer ses semelles et la première chaussure d’art à semelle de bois en France à obtenir le label Origine France Garantie. « Il confirme que nos galoches sont fabriquées en France avec des matériaux français ».
Plusieurs modèles unis, à motifs, vernis ou non, ouverts ou fermés, sont disponibles sur notre marché en ligne : coqethic.fr
La couleur en hamonie avec la nature.
Galoches ouvertes en rando à Vinzelle, frontière entre le Cantal et l’Aveyron.
La Galoche Salers, comme à la tradition s’autorise une petite sortie au village, on se sent si bien à Marcolès.
Plus de 100 ans et toujours la forme ! Ces formes utilisées par la Galoche du Cantal sont originaires d’Aurillac, on leur doit aussi de pouvoir perpétuer la tradition.
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